Hier après-midi (13/4), dans la ville de Mytilini nous avons distribué 500 textes sous les portes aux maisons et aux patés de maisons sur ceux poursuivis pour participation aux CCF aussi bien qu’en tant que membres.
Nous avonc pris soin d’orienter notre discours d’une telle facon qu’il ne pouvait pas être immédiatemment compris en incorporant notre texte dans la trame d’un journal local.
Nous avons choisi cette manière d’agir afin de briser la régularité de la ville, mais aussi pour mettre en avant le sort de ces prisonniers politiques.
PAS DE CAMARADES DANS LES MAINS DE L’ETAT
LIBERTE POUR TOUS LES PRISONNIERS POLITIQUES
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