Nous prenons la responsabilité de ces attaques et les casses de badges nominatifs et des fenêtres des bureaux de l’emploi à Varaždin, Rijeka et Pula (Croatie) qui se sont déroulées dans la nuit du 25 au 26 décembre 2013.
Dans ces moments, au cours de laquelle nous sommes violées par une division artificielle en fonction de critères nationaux, religieux et sexuels, nous ressentons le besoin d’agir dans le but de créer un contrepoids à ces pratiques, qui ont été délibérément accentuées par les médias, et qui sont sans aucun doute induites par l’État, les partis politiques et l’Église.
Qui sommes-nous? Nous sommes le résultat de la société. Nous sommes seulement quelques-un.e.s des 400 000 chômeurs suspects de cet acte.
en anglais / collaboration du chat noir émeutier