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Finlande : Nouveau sabotage sur un chantier nucléaire

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Au cours de la troisième semaine de Juin, les engins de chantier du site de construction de Fennovoima à Hanhikivi, Ostrobothnia du nord, ont de nouveau été sabotés.

Une pelleteuse et un bulldozer ont été gravement endommagés par la destruction de leur système de câbles. La ou les personnes qui ont réalisé l’action ne représente(nt) aucun réseau, groupe ou organisation.

Solidarité avec les gens qui résistent à la construction nucléaire à Pyhäjoki et aux compagnon-ne-s qui luttent partout.

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Bolivie : Une porte ouverte de plus pour le capitalisme

weddingSur le territoire dominé par l’État de Bolivie est prévu de construire une centrale d’énergie nucléaire dans le département de La Paz. Le pantin du Pouvoir ne cache pas ses intentions progressistes, civilisatrices et développementistes et nous avons pu voir ces dernières années à quel point il a protégé les intérêts capitalistes, néo-coloniaux et bourgeois, en essayant par exemple de construire une route qui fasse partie de la IIRSA* qui passerait par le TIPNIS,** la route du Dakar ou son satellite en tant qu’icône de surveillance et de bénéfices des multinationales de la télécommunication. Selon le pouvoir, ces intérêts ont des fins « pacifiques » pour la recherche et le développement de nouvelles technologies en matière de recherche médicale et agroalimentaire. L’État bolivien est obsédé par l’installation d’un réacteur, une centrale nucléaire ne peut en aucun cas n’avoir aucun lien avec l’entreprise militaire.

Dans les pays qui ont installé ce type d’énergie depuis des années, cela a été un échec, malgré le fait que cette énergie émette moins de carbone que les résidus fossiles, car ils ne savent pas comment éviter de générer des résidus radioactifs et créer un stockage sécurisé. Leur impact commence dès l’extraction de l’uranium, puis par la fabrication des combustibles nucléaires, l’opération des centrales atomiques s’achevant par la génération de déchets hautement radioactifs.

Plusieurs facteurs nous font rejeter ce type d’énergie, en tant que stimulateurs du capitalisme, de l’expérimentation sur les animaux, des mutations génétiques sur les animaux humains et non-humains, les maladies cancéreuses, la pollution, l’emmagasinage des déchets toxiques dont le danger se prolonge sur le long-terme pour des centaines de milliers d’années, un potentiel péril radioactif qui peut devenir hors de contrôle et la fabrication d’armes de guerre. Le Pouvoir n’est pas intéressé par ces motifs, parce que son contrôle cherche à s’étendre et à se renforcer.

Rejet total de tout projet capitaliste et destructeur de la terre.
Motivons-nous pour combattre l’État/Capital.

NON A LA CENTRALE NUCLEAIRE !

depuis irakunditxs

Note de Contra Info :
* IIRSA = “Initiative d’intégration de l’infrastructure de la région sud-américaine”, un projet néolibéral ayant pour but de développer des infrastructures (routes, aéroports, voies navigables, chemin de fer, liaison à fibre optique, etc.) pour promouvoir le commerce et les échanges et les meilleures conditions pour la libre exportation
** TIPNIS = “Territoire indigène et parc national Isiboro Secure”

Chili : Premiers mots des comportements terroristes-sauvages

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”Le flux est constant, stimulant les comportements sauvages.”

Si nous n’étions pas tout à fait sûrs qu’il soit judicieux d’écrire ces mots et, au-delà de ça, de nous risquer à les diffuser sur Internet pour qu’ils puissent parvenir aux yeux de ceux qui visitent ces espaces, nous avons décidé que cela était nécessaire pour expliquer notre existence, plus que nos actions, avec pour fin de pouvoir nous étendre comme nous le voudrions. Mais nous savons que vous saurez nous critiquer et c’est bien le centre des choses, la critique doit exister, pour avancer, pour transcender.

Bien que nous ne prétendions pas sortir un « communiqué » pour chaque action que nous pourrions réaliser dans le futur, parce que nous croyons que cela est une question de stratégie, c’est-à-dire ne pas « informer » de chaque coup que nous portons, pour laisser QUELQUES actes à l’anonymat, avec pour but de ne pas donner TANT de choses aux services de renseignement. Mais nous voulions effectivement publier quelques réflexions pour le futur que nous nous faisions avec le temps qui passe ; de plus, de nombreux sujets ne sont pas ici abordés, et nous considérons qu’il sera important de les mentionner plus tard.

Pour nous, diffuser cela par le biais d’Internet est une contradiction, mais nous pensons qu’il s’agit de l’unique moyen à notre portée pour qu’il soit possible de le diffuser de façon généralisée, et même comme ça, c’est une contradiction que nous assumons, étant donné les circonstances. Mais nous utiliserons cet « outil » lorsque nous le jugerons opportun et en accord avec nos perceptions et nos idées.

Nous y voilà donc…

A) Notre posture est claire : nous sommes contre le système techno-industriel, sa vie civilisée et ses valeurs, traits et concepts. Nous croyons à une vie sauvage, où la nature puisse primer dans son état le plus primitif, sans l’intervention destructrice de l’humain à travers les engins du système techno-industriel (oui, nous savons que l’humain primitif abimait la nature, mais pas à l’échelle de l’humain d’aujourd’hui). Mais nous savons que cela ne se passera pas d’une année sur l’autre, peut-être faudra-t-il que plusieurs générations passent et que certaines meurent pour que l’humain et la nature en général puisse arriver à un état primitif. Mais nous ne venons pas parler du futur, seulement d’aujourd’hui, de maintenant.

B) Et si nous souhaitons la destruction du système, nous savons que nous-mêmes n’y parviendrons pas, mais que nous contribuerons par contre à son effondrement, et c’est pour ça que nous croyons à l’attaque permanente et quotidienne contre le système.

C) Comme nous l’avons dit, nous ne prétendons pas prédire l’avenir, et encore moins le contrôler, et préférons nous concentrer sur la perspective actuelle : attaquer toute chose et personne qui représente le système techno-industriel. Mais pour attaquer le système, il est d’abord nécessaire de l’étudier, de le comprendre et, pour qu’il s’effondre effectivement, il faut attaquer ses points faibles. Cela, Kaczynski le disait déjà dans la plupart de ses écrits, avec lesquels nous tombons parfois d’accord. Cela dit, pour recadrer, nous ne sommes les disciples de rien ni de personne, nous exaltons notre posture individuelle et refusons tout concept que l’on pourrait nous coller sur le dos.

D) Et pourquoi la technologie ? Bien. Nous savons que les temps ont changé et que le système s’est complexifié à travers les siècles. Jadis, il était possible de déstabiliser la société et le système en impulsant des causes qui, bien que triviales, étaient la ferveur de l’époque (majoritairement des mouvements liés au travail salarié et aux « droits » des pauvres). Même s’il s’agit d’une exemplification rudimentaire, la population s’est à certains moments identifiée aux causes du « travail », et il existait des groupes qui impulsaient ces causes, parvenaient à faire une propagande efficace et à provoquer une tension dans la société et dans le système lui-même. Aujourd’hui, le système est différent, il s’est complexifié pour mener à bien ses propres fins. A un moment, il était lucide d’attaquer politiquement le système, quand il n’était pas aussi connecté et que ses diverses parties n’étaient pas aussi dépendantes les unes des autres. Aujourd’hui, c’est différent, et si nous nous concentrons, si notre objectif est de détruire le système, c’est-à-dire de le faire s’effondrer, notre cible directe doit être la technologie sous n’importe laquelle de ses représentations.

E) Mais même si nous ne voulions pas tomber dans le typique communiqué déjà lu tellement de fois, nous voulons être clairs : le système du prototype idéologique pro-technologique doit être détruit dans la théorie comme dans la pratique, en annulant ses valeurs structurées, sa forme de vie stéréotypée, en l’attaquant quotidiennement, en l’annihilant dans chaque aspect de nos vies. Nous conclurons par ces mots : la technologie est la base, la racine de ce système, et de là, il faut l’attaquer, poignarder constamment chacun de ses points faibles, là où elle ne peut réagir, et nous le certifions ici, nous nous lancerons dans une bataille à mort.

”A tous ceux qui veulent harceler l’ennemi jusqu’à l’épuiser, nous suggérons donc, en Italie et ailleurs […] de petites entités plus difficilement atteignables et identifiables. […] Il n’est pas dit que chacun doive nécessairement accomplir des actes violents ; que chacun accomplisse en revanche des actions qui offensent l’ennemi en fonction des attitudes, capacités et moyens des membres d’un groupe déterminé, constitué par l’affinité et la confiance réciproque. Que chaque groupe fasse et accomplisse sa part d’actions sans se demander ce que feront les autres groupes.
Tous tendus vers un but unique. Et parce que l’ennemi veille, attentif et insidieux, que chaque […] groupe d’action connaisse et contrôle ses membres”.

SEVERINO DI GIOVANNI

Nous nous retrouvons dans ces mots, au-delà de l’individu. Ce paragraphe est extrait de l’un des écrits de Di Giovanni.

F) Nous ne sommes pas pour un « mouvement » anti-technologique, mais plutôt bien pour des actions qui attaquent directement le système techno-industriel, qu’elles soient violentes ou non, mais des actions menées par des individus qui s’engagent, et qui soient capables d’en arriver jusqu’aux dernières conséquences.
Nous ne croyons ni ne nous dirigeons vers un mouvement structuré, c’est-à-dire unifié, mais avançons par les actions ; tout moyen qui fasse un apport concret à cette guerre est une force accumulée pour un coup létal au système. L’attaque frontale et sans trêve contre le système. Nous critiquons, mais ne jugeons pas. Cependant, ce faisant, nous autres nous jetons dans la conduite délictueuse.

”Chaque génération de rebelles [révolutionnaires] imite celle qui la précède”

G) Nous souhaitons être précis dans ce point, mais nous savons que, dans tous les cas, nous ne dirons rien qui n’ai déjà été dit. Mais même ainsi, comme nous l’avons dit, nous avons omis plusieurs sujets de grande importance que nous verrons plus loin. Si nous ne croyons pas en la « spécialisation » de la lutte, avec une chance fragmentaire, comme s’il y avait ceux qui se chargent des actions « pacifiques » et d’autres qui sabotent, ce que nous croyons – et nous le soulignons – est que ceux qui se décident à réaliser des actions, qu’on pourrait définir comme « délictueuses » ou « terroristes », et qui emploient comme méthode la fabrication d’explosifs, doivent dédier un temps important à l’étude de la chimie, et ceci est un appel ouvert : nous croyons que l’étude de cette matière est très largement utile et efficace, et a pour but de perfectionner chaque coup.

Et nous voilà, nous existons, et nous sommes prêts à tout. D’Arica à Punta Arenas. Nous attenterons contre tout ce qui représente le système techno-industriel, de ses institutions à ceux qui décident de le perpétuer et de collaborer avec lui. Nous sommes des délinquants incivils, nous sommes là et nous nous radicalisons suffisamment pour ne pas faire un pas en arrière. Nous attaquerons consciemment tout et tous ceux qui nous paraissent apporter au système, sans pitié. Nous ne sommes ni anarchistes, ni écologistes, nous ne nous entacherons d’aucun nom, nous laissons derrière nous cette croyance inutile de devoir nous identifier derrière un concept, nous laisserons nos actions parler.
Et bien qu’il nous plairait de nous attribuer certaines actions, nous pensons que celles-ci n’ont eu ni la répercussion – ni les dégâts – nécessaire pour les porter à fleur de peau, mais nous portons néanmoins chacune d’entre elles dans nos mains, nous apprenons d’elles, nous perfectionnant pour chaque futur coup de façon différente. Et tel que nous l’avons dit, nous ne communiquerons pas sur chacune de nos actions, pour des questions stratégiques, mais le ferons pour certaines, quand nous le jugerons pertinent. Voilà tout pour l’instant, nous retournons dans nos cavernes.

“Bienheureux vous qui ne savez ni n’espérez rien. Vous rechercherez l’auteur à présent ? Même si vous enfermiez tous les « anarchistes » du globe, celui qui l’a fait, celui qui le fait, celui qui le fera, sera le seul, écoutez bien, le seul qui ne tombera pas dans vos filets. Il passera entre vous, sa bombe invisible en main, comme un mort avec sa langue muette dans la bouche. Mais les morts parlent !”

Bristol, Royaume-Uni : Attaques incendiaires pour Rémi Fraisse

Vengeance pour Rémi, Feux de rue contre l’industrie nucléaire, la société carcérale et le Capital vert.

(25 novembre à Bristol:)

La police française à tué Rémi Fraisse lors d’une tentative de se débarrasser d’une occupation de forêt combative en lutte contre le barrage de Sivens. Nous avons brûlé un véhicule au service de la multinationale française GDF (qui travaille sur le nouveau réacteur nucléaire pas très loin, à Hinkley Point, entre autres projets nucléaires dans de nombreux pays, sur des barrages implantés de force dans des terres indigènes Amazoniennes irremplaçables avec le renfort de l’armée brésilienne, sur des services d’installations de police dans la région, en plus de fournir des services dans les Iles Shetland pour l’un des plus gros terminaux de pétrole et de gaz en Europe, de gérer plusieurs prisons françaises et de développer des technologies vouées à travestir le capitalisme industriel en développement durable pour le compte des banques et des entités commerciales de toujours).

Cette action a eu lieu dans la zone de Long Ashton, où nous avons par la suite brûlé aussi un gros 4×4, deux voitures de sport de luxe et un véhicule de l’OCS (considérée comme l’une des meilleures compagnies de sécurité du Royaume-Uni : elle fournit gardes du corps, patrouilles, installation et monitorage de systèmes de surveillance).

En France, l’occupation de la ZAD n’a pas succombé sous le poids de l’éco-catastrophe annoncée visant à la destruction des habitats importants afin que le maïs transgénique puisse être irrigué. L’anarchie croise la route des apôtres de l’industrialisation. Une autre destruction est possible.

La division entre les classes augmente, les désastres environnementaux se succèdent les uns aux autres et le sens de nos vies s’érode. Et ils croyaient que nous allions tous et toutes rester là à poursuivre leur royaume merveilleux de marchandises et nous compromettre pour des gains sociaux ? Misère, surveillance et restrictions ne cessent de croître, les lignes de démarcation sont tracées, et nous savons de quel côté nous sommes. Y a-t-il encore quelqu’un pour croire que la police tient encore vraiment cette ville totalement sous contrôle ?

Vous pouvez enfermer Reiss Goyan Wilson (l’incendie du commissariat de Nottingham lors des émeutes de 2011), mais vous ne pouvez pas tuer nos mémoires. Tant que l’État supprimera lesmanifestations de perturbation des étudiants, les anti-autoritaires et le sous-prolétariat qu’ils massacrent sans sourciller à Londres, Paris ou Ferguson rallumeront le feu d’Août.

Bristol portera le titre de Capitale Verte Européenne l’année qui vient. Comme si quelqu’un croyait vraiment que leur intention était de faire face au carnage forgé par l’idéologie capitaliste de la croissance économique, bien sûr que le double discours écologiste (la guerre c’est la paix, les villes sont vertes, etc.) couvre les patrons de joie puisque ce titre attirera des investissements supplémentaires grâce à la croissante économie ‘verte’ et ses parasites – tandis que la crise de la biodiversité se renforce de façon incontrôlable. C’est une vraie blague (qui rapporte gros), exactement comme lorsque Nantes avait obtenu ce titre en 2013, là où une autre ZAD mène une lutte dure contre le développement d’un énorme aéroport ‘vert’ et de tout ce qui vient avec.

De la même façon, nous attaquerons la fable du tout-vert et les intérêts du Capital qui se cachent derrière celle-ci, non pas dans les cérémonies auto-congratulatoires, mais là où ils mènent leurs affaires quotidiennes, et ici, dans la rue, où les valeurs et les normes de cette civilisation sont reproduites. Ce n’est pas du tout un hasard si nous avons enflammé la nuit, parce que rester de côté et faire confiance aux experts n’a jamais été suffisant pour combattre notre misérable situation au sein d’un empire hésitant et biocide.

Contre la société de classe et le développement industriel, même – et surtout – celui qui se maquille de vert.

Victoire pour la ZAD du Testet et pour la ZAD de Notre-Dames-des-Landes.

Victoire pour la grève de la faim tournante dans les prisons grecques (en soutien à notre confédéré de la F.A.I. Nikos Romanos) et pour tou-te-s les prisonnier-e-s en guerre contre la prison.

F.A.I. Torches dans la Nuit – Front de Libération de la Terre

Tlalnepantla, Mexico : Attaque incendiaire contre les bétonneurs CEMEX

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État de México.

L’industrie de l’infrastructure est l’une de celles qui menacent le plus la nature sauvage dans son ensemble.

A travers la continuelle construction de ponts qui traversent les ravins en détruisant les écosystèmes environnants, l’avancée frénétique des routes qui inondent la terre de ciment hydraulique, les métropoles généralisent la tâche grise de cette civilisation pourrie.

Tous les jours, des attentats sont commis contre la Terre et contre les animaux qui vivent sur elle, nous compris. L’invasion du progrès techno-industriel brise le fragile équilibre écologique lorsqu’il dévaste des forêts entières, quand il oblige les animaux sauvages à abandonner leur milieu et les conduit à l’extinction forcée ou à la domestication par les humains. Les rivières sont enfermées dans des conduites ou dans des barrages gigantesques, l’air pur est pollué par les voitures qui circulent sur les autoroutes, les antennes électriques et de communication se dressent telles de sombres cauchemars au-dessus de nos têtes. Et en ce qui concerne les êtres humains, la civilisation nous a pervertis et nous a forcés à abandonner la sagesse primitive héritée de nos ancêtres, faisant chavirer nos modus vivendi vers l’artificialité et nous convertissant en quelque chose de totalement opposé à ce que nous étions auparavant.

Le système nous a condamnés à abandonner notre vie dans la nature, pour nous immerger à la place dans une réalité artificielle, à vivre comme des morts dans des villes grises et tristes, infectées par la manipulation des médias, la loi des marchés et l’absurde.

Ce que génère l’industrie de l’infrastructure, c’est le déplacement du sauvage et du naturel vers le civilisé et le mécanique.

Pour ces raisons, parmi d’autres, comment se peut-il que certains ne comprennent toujours pas les attaques directes contre ce type d’industries ? Nous autres nous sommes réveillés et avons pris nos distances des « revendications politiques et sociales » de toujours, pour nous orienter vers l’attaque frontale envers des aspects plus réels. La politique ne nous importe pas, ni les revendications sociales. Ce sur quoi nous nous concentrons, c’est à faire la guerre à tout ce qui induit la civilisation et le progrès invasif, tout comme le firent nos ancêtres sauvages.

Par la présente, nous revendiquons une action contre la grande entreprise de ciment Cemex de l’avenue Gustavo Baz, à Tlalnepantla de Baz, le 15 novembre de cette année.

Nous avons déposé un objet incendiaire sur les câbles d’alimentation en énergie électrique de ladite entreprise et, à l’ombre d’un arbre de Pirul, nous avons vu comment notre préparation prenait, s’étendait et consumait l’objectif en générant des dégâts matériel, laissant un message clair : nous continuerons !

Reacción Salvaje
Groupuscule “Jusqu’à ta mort ou la mienne!”