Depuis quelques jours, le service responsable de la municapilité d’Athènes,en premier lieu, le maire Kaminis, à laissé des facilitées à la municipalité concernant la rue de Filolaou, au numéro 159, aux gansters nazis de Hrisi Avgi afin qu’ils puissent ouvrir un bureau propre à leur parti. Celui-ci étant destiné aux besoins des comiteé scolaires, et contre l’avis unanime du deuxième conseil de communauté, les clés ont données aux fachistes.
Au printemp 2009, un groupe armé de Hrisi Avgi a occupé un parc d’enfant sur la place de Aghios Panteleimonas et ont ainsi tué la vivacité des enfants du quartier, immigré ou locaux. Cela change la vie quotidienne, occupée désormais par la violence et l’intolérance, le racisme et le recrutement d’adolescent provenant des écoles avoisinantes à leurs causes. Comme si cela ne leur suffisait pas ! Leurs listes d’action consistent à agresser soit physiquement, soit moralement, les jeunes sur les lieux publics. Des attaques mortels sur les immigrés et les refugiés, ciblant les résistants et les résistantes, les squats, et en général les lieux de vie sociale.
Les fachistes aspirent à installer un bureau dans la rue Filolaou pour avoir une autre base pour les actions terroristes. Ils veulent promouvoir sans dérangement le cannibalisme social et imposer la peur dans notre quartier. Cependant, une grande partie de la socièté se révolte et résiste collectivement. Les fachistes veulent empoissonner la socièté avec la haine raciste et les délires nationalistes. En même temps, la diversité des classes augemente et l’injustice sociale est de plus en plus profonde. Ce n’est pas par hasard qu’au mois de Mai dernier, ils ont exploité la mort tragique de M. Kadari (une histoire de vol au centre d’Athènes) pour installer la peur au cœur de la ville avec des attaques fachistes.
Et ce n’est pas pour rien aussi, que pendant la manisfestation du 29 Juin, contre le vote du nouveau programme d’austerité, les membres de Hrisi Avgi en collaboration avec les MAT (CRS grecs), ont profité de cette situation pour s’échapper de l’esplanade du Parlement, afin de se protéger de la rage du peuple. Celui-ci expérimentant une attaque sauvage à la bombe lacrymogène avec une détermination sans faille.
Est-ce que l’on va laisser les Nazis progresser dans nos quartiers sans reagir ?
Contre la pauvreté, le chômage et la misère, nous répondons par la solidarité.
Contre le racisme et les séparations sociales, nous répondons par la lutte autogérée commune entre les immigrants et les locaux, les jeunes et les vieux, les travailleurs et les chômeurs.
Contre l’aliénation et le cannibalisme, nous répondons par la collectivité.
La lutte contre le fachime est un sujet de la vie et une question de dignité, il n’y a pas de place pour les ennemis de la liberté.
Le fachisme n’est pas seulement une image sur un écran.
Ni à Pagrati, ni nulle part ailleur.
Pas de fachiste dans nos quartiers.
Assemblée des Habitants.
Source (français/grec/anglais)