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Santiago : Semaines d’agitation et de solidarité anticarcérale

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Solidarité révolutionnaire avec Nikos Romanos et tou-te-s les anarchistes incarcéré-e-s

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Nous sommes d’éternels ennemis de l’Etat, de la police et de toute autorité. Aucune condamnation, aucun tribunal n’en finira avec la solidartié. Freddy, Marcelo, Juan et Carlos dans la rue !!
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Solidarité active et combative avec Monica, Francisco et avec les prisonnier-e-s de l'”Opération Pandora” dans la rue !!

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Il existe de nombreuses façons d’agiter, de propager et de diffuser les idées/pratiques acrates et, avec elles, d’insister sur la solidarité révolutionnaire avec celles et ceux qui ont mis en pratique un discours révolutionnaire. Beaucoup de compagnon-ne-s ont en effet mis l’attaque matérielle contre l’autorité en pratique, sachant bien les possibilités que ce choix emporte avec lui : la mort et la prison sont des options auxquelles se risque tout-e compagnon-ne, sur n’importe quel territoire sur lesquels on cherche à faire fleurir les rêves de la libération totale.

Pour les anarchistes / anti-autoritaires, la solidarité révolutionnaire ne doit pas être un mot creux, mais une mise en pratique constante qui a pour but d’affaiblir chacun des barreaux derrière lesquels se trouvent nos compagnon-ne-s. Ces pratiques symboliques et matérielles doivent être chargées de projections fermes visant à l’annihilation de l’État/Prison/Capital.

Ce moment de « Semaines d’agitation et de solidarité anticarcérale » suggérée par des compagnon-ne-s est le clair exemple à travers lequel peut être mise en pratique la solidarité révolutionnaire active et combative, avec de multiples actions/gestes et avec pour claire intention d’aiguiser le conflit avec le pouvoir. Nous rejoignons allègrement cette initiative anticarcérale avec différentes actions/gestes que nous avons faites à ces dates, et quelques autres un peu plus récemment cette nouvelle année.

Décembre 2014 : Chronologie d’actions/gestes.

Mardi 2 : Banderole et tracts à l’UTEM/TS en solidarité avec Juan Flores.

Mercredi 3 : Banderole et tracts à l’Univ. Arcis en solidarité avec Alberto Olivares.

Jeudi 4 : Banderole et tracts à l’UAH en solidarité avec Hans Niemeyer.

Vendredi 5 : Affiches et tracts à l’Institut Chilien-Héllenique en solidarité avec Nikos Maziotis, Kostas Gournas et Antonis Stamboulos.

Mercredi 10 : Activité : Journée de Correspondance dans l’E.S.A et Bibliothèque Autonome Sante Geronimo Caserio

Janvier 2015 : Chronologie d’actions/gestes.

Deux toiles ambulantes sont peintes, pour la solidarité internationale :

En solidarité avec Mónica Caballero, Francisco Solar et les prisonnier-e-s de « l’Opération Pandora » en Espagne.

En solidarité avec Nikos Romanos et tou-te-s les prisonnier-e-s Anarchistes/Anti-autoritaires en Grèce.

Mardi 13 : Tractage en-dehors du domaine policier où vit la famille du policier mort Luís Moyano dans la Ciudad Satélite, en solidarité avec Freddy Fuentevilla, Marcelo Villarroel, Juan Aliste et Carlos Gutiérrez.

Bien que nous n’ayons pas de certitudes en ce qui concerne notre source, nous espérons que le « Domaine Magallanes », dans la Ciudad Satélite, soit celui de la famille du policier mort Luís Moyano. Nous espérons qu’il est clair pour vous que nous n’oublions pas nos prisonnier-e-s et qu’en tant qu’ennemi-e-s de la police, nous ne les laisserons jamais en paix.

Mercredi 14 : Distribution de tracts et de ballons en-dehors de la prison de San Miguel en solidarité avec Tamara Farías et Nataly Casanova.

Nous saluons les complices qui nous ont accompagné-e-s réaliser cette action/geste de la prison, il est super précieux et important de rencontrer d’autres compagnon-ne-s qui font de la solidarité une arme et pas seulement une parole écrite. Des étreintes fraternelles.

La solidarité révolutionnaire est un pilier de la lutte contre l’État/Prison/Capital lorsqu’elle est mise en pratique quotidiennement. Avec elle, il est possible d’ouvrir des ponts pour la rétro-alimentation d’idées et surtout de pratiques utiles au développement de la guerre sociale. Pour celles et ceux qui mènent fermement la lutte contre le pouvoir, sans se repentir ni se donner d’excuses – que ce soit celles et ceux qui sont dans les rues ou celles et ceux qui rendent chaque jour la prison combative – cette rétro-alimentation sert à ouvrir des débats avec lesquels chacun-e peut se nourrir. Nous croyons que cet exercice collectif doit toujours viser le conflit ; la lecture et la critique doivent viser à la forge de la solidarité symbolique et matérielle, avec un dialogue fraternel qui permette la recherche et l’apprentissage de tous les moyens possibles pour annihiler l’ennemi-e, et comme nous sommes en guerre, à quoi nous servirait-elle d’autre ?

Solidarité Internationale et Révolutionnaire :
Avec les prisonnier-e-s de la Guerre Sociale.
Prisonniers en Guerre au Chili, en Espagne et en Grèce : de nouveau dans les rues !!

Collectif Lutte Révolutionnaire.
lucharevolucionaria@riseup.net

Chili : Communiqué des compagnons du Caso Security en mémoire des 81 de San Miguel

81-1024x317– Il y a 4 ans, le matin d’un 8 décembre*, la frayeur s’est emparée des coeurs libres qui marchent de par le monde et qui luttent pour la destruction totale des geôles et des prisons qui enferment les pauvres et les rebelles du monde entier.

– La rage est devenue incontrôlable et un mouvement spontané émerge dans tous les coins du pays… Pour la première fois se visibilise la douleur faite mort… mort massive de 81 personnes prisonnières, enfermées dans les prisons de la démocratie, enfermées par une société de classes qui affirme son pouvoir dans l’exploitation, la soumission et la répression… Peu à peu, en un peu plus de deux semaines, dans les différents centre de détention du pays sont nés des mouvements massifs de révolte et de rejet de l’indolence complice de l’État et de ses sicaires gardiens de gendarmerie… Avec le temps, ces mouvements se sont dilués, mais la douleur de la perte et l’atrocité du massacre est resté tatouée dans la mémoire de lutte et dans la Résistance Subversive de ceux qui comme nous vivent la prison en tant que résultat de notre décision de combattre la normalité capitaliste, sa paix sociale, sa société carcérale…

– Aujourd’hui, après qu’ai été prononcée l’impunité et l’immunité des matons directement responsables de ce massacre par la justice du pouvoir, il ne nous reste que la voie autonome de la conscience et de l’action anticarcérale qui avance en construisant notre capacité d’autodéfense contre les agressions constantes, les répressions et les tortures que nous vivons à l’intérieur des prisons, naturalisées comme autant de pratiques normales ; quand elles ne sont en vérité que les manifestations de l’abus et du châtiment appuyés par le silence et l’indifférence de masse.

– Par ces brèves – mais pleines de sens – paroles, nous voulons exprimer notre solidarité directe avec toutes les familles qui ont perdu leurs êtres chers en prison du fait de la responsabilité directe des surveillants et des juges… Nous souhaitons saluer de tout notre respect celles et ceux qui s’organisent et luttent contre le présent et se rebellent contre toute forme d’autorité…

– Parce que la lutte contre la prison se fait ici et maintenant

– Parce qu’il n’existe aucune prison ni aucun châtiment qui soient capable d’en finir avec les pratiques et les idées de Rébellion et de Subversion

– Parce qu’aucune chaîne et aucune prison de haute sécurité ne dureront pour toujours !!

TANT QU’IL Y AURA DE LA MISERE, IL Y AURA DE LA REBELLION !!

– Prisonniers de la guerre sociale : DE RETOUR DANS LA RUE !!

Freddy Fuentevilla, prisonnier subversif

Carlos Gutiérrez Quiduleo, prisonnier subversif mapuche

Marcelo Villarroel S., prisonnier libertaire

Juan Aliste Vega, prisonnier subversif

Prison de Haute Sécurité/Santiago-Chili
Dimanche. 7. Déc. 2014

* Note de Contra Info : Le 8 décembre 2010, 81 détenus ont été tués par la gendarmerie chilienne dans la prison de San Miguel.
Plus d’information (en espagnol) sur ce massacre sur le blog 81 razones x luchar.

Santiago, Chili : combat de rue solidaire et arrestations le 9 juillet

Affrontements à l’extérieur du lycée Manuel Barros Borgoño en solidarité avec Sol Vergara et la récente condamnation de Juan, Freddy et Marcelo.

Le 9 juillet 2014 un groupe d’encapuchonné-es a décidé de bloquer la rue devant le lycée Manuel Barros Borgoño armé-es de barricades et de s’affronter à la police avec des pierres, de la peinture et des cocktails Molotov.

L’action et le combat de rue faisait partie de la solidarité directe avec les compagnon-nes Juan, Freddy et Marcelo, compagnons reconnus coupables récemment de multiples expropriations bancaires et de la mort d’un policier.

La confrontation de rue a également montré la solidarité avec la compagnonne Sol Vergara, qui est en détention accusée d’avoir tiré un vigile de la banque.

Après les combats de rue, les forces de police ont réussi à arrêter 10 compagnon-nes, dont 3 ont été inculpé-es pour possession de cocktail Molotov et assignés à résidence totale.

Envoyé par “Noticias de la guerra social”
Beaucoup d’images prises de “Fotografía Insurrecta”

En espagnol ici

Thessalonique, Grèce : Solidarité incendiaire avec les compas du Caso Security

Jeudi 20 mars dans la nuit, nous avons utilisé des produits inflammables pour livrer un véhicule diplomatique d’un autre pays aux flammes, à l’Est de la ville de Thessalonique.

Cette action a été réalisée dans le cadre de l’appel international de solidarité avec Juan Aliste, Freddy Fuentevilla et Marcelo Villarroel, anarchistes* prisonniers de l’Etat chilien, accusés dans le Caso Security. Les compas doivent affronter des charges lourdes, notamment des braquages de banques et la mort d’un flic qui a eu la mauvaise idée de défendre le monde du Pouvoir et de ses lois.

Chaque acte d’attaque contre les Etats et leurs mécanismes est un message de solidarité à tous les compas qui luttent à l’intérieur et à l’extérieur des prisons du monde entier.

Pour la libération totale et l’anarchie.
Solidarité avec les anarchistes prisonniers au Chili.
Force à ceux qui choisissent le chemin de la clandestinité.

* Freddy Fuentevilla est un ancien militant du MIR (Movimiento de la Izquierda Revolucionaria), anticapitaliste autonome actif. Juan Aliste est un ancien lautarino (MAPU-Lautaro), anticapitaliste subversif actif. Marcelo Villarroel est un ancien lautarino, subversif autonome et libertaire.

Grenade : Attaque à la peinture d’une succursale de Banco Sabadell

Le 20 Mars dernier, dans l’après-midi (il était environs 17h30) une succursale de Banco Sabadell, située dans la rue San Pablo II, a été attaquée à la peinture. De la peinture rouge a été répandue sur l’écran du distributeur pour le recouvrir et empêcher son utilisation jusqu’à ce qu’il soit nettoyé ou changé, ainsi que sur les vitres de la banque. Des tracts ont également été laissés sur les lieux, avec un texte de solidarité avec les compagnons du Caso Security au Chili, dont le jugement commence le 25 Mars prochain.

Cette action fait partie de la semaine d’agitation et de solidarité avec cette affaire lancée en particulier depuis le Chili et soutenue par divers collectifs et individualités partout dans le monde, auxquels nous voudrions nous ajouter anonymement. Nous envoyons également un message de force et de solidarité à Tamara Sol et aux autres prisonni.ères/ers anarchistes dans les cachots de l’Etat chilien et dans le monde.

Solidarité et action ! Nique les banques !
Vive l
’Anarchie !

Santiago, Chili : Lettre des compagnons accusés dans le Caso Security depuis la Prison de Haute Sécurité

marirevo

LA PRISON, LA TORTURE ET L’INJUSTICE NE PRENNENT PAS DE VACANCES.

À la suite du dernier assaut venant de l’appareil persécuteur répressif (police, procureurs, tribunaux), la procédure de préparation du procès oral dans un tribunal constitutionnel a fini par se congeler depuis le mois d’août de l’année dernière, dans l’objectif d’annuler les diverses preuves insensées accusatrices déjà exclues et écartées, celles qui furent incrustées depuis le Tribunal Militaire et formulées par le tortionnaire Roberto Reveco au Ministère Publique ( légitimant ainsi des actes de persécution et de haine).

Six mois après, en février 2013, la supercherie continue, et donne comme résultat une objection du magistrat en service, fondé sur un supposé ressentiment de celui-ci envers les procureurs et plaignants en porcelaine. Alors que nous sommes toujours emprisonnés, la cour d’appel serait chargée de reconnaitre ou non cette fausse dispute pour l'”honneur” entre eux, tout ça posé adroitement par les persécuteurs. Mais ça n’est pas le plus important, un subterfuge pareil ne cherche dans le fond pas seulement à changer le magistrat. Son objectif est d’amener une nouvelle préparation de procès oral, où toute la preuve accusatrice déjà exclue, éliminée sous ses propres lois, soit pleinement réincorporée contre vents et marées, répondant ainsi aux exigences de répression, persécution et punition, exigences politiques d’un État, lequel baise son propre ordre juridique.

L’insoutenable du procès se reflète dans des pratiques aberrantes pour justifier la prison. Où la machine oppressive doit donner une réponse condamnatoire pour faire un exemple.

Comme nous, rebelles, libertaires, subversifs, transitoirement en prison, avec un procès pas clair bloqué dans les interprétations légales de ses propres articles, ceux qui avec toute la tromperie adroite n’assurent pas les intérêts inquisiteurs de l’État et son ensemble juridique répressif. Pour cela, et en contradiction avec ses propres normes, cela fait plus de 5 ans que traine cette affaire, soutenue politiquement pour des raisons d’État et sans aucune justification juridique.

Une prison qui cherche à se légitimer simplement parce que nous décidons de nos propres vies et que nous n’avons rien à voir avec le contrôle capitaliste imposé. Nous traçons le chemin de l’émancipation, et cela ne rentre pas dans leurs codes, c’est pour cela qu’ils doivent réinterpréter leurs propres articles, créer des procédure transitoires, réformer la réforme et pour cette raison d’État, donner de la puissance et de la légitimité indiscutable à la doctrine sacrée du pouvoir militaire et des gardiens de la constitution.

Aujourd’hui, avec la voix assoiffée de Pouvoir et de premier rôle, un procureur habile dans le mensonge veut et doit nourrir ses peines de l’enfer. Sa manœuvre de recommencer tout à zéro dans son procès oral ne sera pas son dernier râle. Hier, la poursuite s’est faite par la menace dans le but d’anéantir l’idée, aujourd’hui la persécution se dote de ruse juridique pour ainsi montrer que le plomb assassin ne les a pas soumis.

Notre cœur bat de façon indomptable, nous respirons profondément en aimant la vie et nos amours !

Domestiquons la peur, finissons-en avec l’indifférence.

La solidarité est une arme, multiplions les initiatives, actions, dénonciations personnelles ou collectives.

Montrons à l’État et sa presse bourgeoise que tant qu’il y aura de la misère il y aura de la rébellion !

CONTRE L’ÉTAT-PRISON-CAPITAL : GUERRE SOCIALE  !

Juan
Marcelo
Freddy

Février 2013

Une flamme de solidarité de la part de la CCF pour les frères et soeurs au $hili

Lorsque les barreaux de prison empêchent nos mains de jeter le feu de l’anarchie dans le monde du pouvoir, nos paroles deviennent le fort grincement de l’évasion.

Armés avec des pensées, des désirs, des plans secrets, des nouveaux complots, nous donnons une chaude étreinte dans notre rencontre imaginaire avec les camarades de l’action à travers le monde.

Maintenant, nous voulons que notre voix atteigne nos frères et sœurs au lointain Chili, à Luciano (Tortuga) en procès le 22 Novembre et à Monica, à Felipe, à Francisco, à Omar et Carlos le 28 Novembre, parce qu’ils sont anarchistes et les ennemiEs du pouvoir.

Bien sûr, nous n’oublions pas Marcelo, Freddy et Juan dont leur procès a commencé le 11 de ce mois. *

Camarades, vous êtes si loin et pourtant vous vous sentez si proche.

C’est la même rage que nous ressentons lorsque nous frappons l’État, le même mépris que nous montrons pour la silencieuse foule compromise, la même passion avec laquelle nous nous battons pour l’anarchie, la même haine des prisons qui veulent nous garder en otage.

L’État chilien et les autorités des États du monde doivent savoir que pas unE camarade sera laissé seulE.

Nous existons partout, les anarchistes qui agissent, pour qui l’anarchie n’est pas du simple bavardage idéologique, mais le seul moyen authentique de vivre.

Donc, une chose est certaine. Nous n’avons pas encore dit notre dernier mot. Nous commençons un voyage insurrectionnel infini, avec le nouveau nihilisme et l’action immédiate pour la réalisation de l’anarchie en tant que notre boussole. Notre nom est notre âme nommée FAI / FRI. La Fédération Anarchiste Informelle-Front Révolutionnaire International est le nouveau Noir International des Anarchistes de la Praxis.

Nous savons qu’un jour nous nous retrouverons à Athènes, Santiago, dans l’ici et maintenant, toujours.

Jusque-là, comme nos frères de la cellule russe de la CCF ont écrit: « Alors que nous lisons les lettres et les nouvelles de camarades emprisonnéEs, nous sentons de tous nos cœurs la haine envers le statu quo, l’impatience de créer un autre monde et la destruction de celui-ci. Chaque lettre de ces textes coule à travers les veines comme un fleuve. Atteigne le cœur et reste pour toujours dans l’âme.

Et tandis que notre activité nous met en grand danger, tout de même nous rêvons du jour où nous nous rencontrerons dans une petite ferme. Nous allons boire un thé que nous aurons recueillis avec nos propres mains et nous allons partager nos plans avec des sourires…

Nous allons échanger des histoires de nos aventures.

Et ce jour n’est pas loin … »

Monica, Felipe, Francisco, Omar, Carlos, Luciano, Marcelo, Freddy, Juan, nous levons notre poing à vos côtés, en criant « SOLIDARITÉ » dans la langue internationale de l’anarchie. En même temps l’autre main tient fermement le couteau du nihilisme pour le plonger en profondeur dans les entrailles de ce monde de pouvoir et d’assujettissement.

Libres pour toujours
Toujours anarchistes
Vive la FAI / FRI

Les membres emprisonnéEs CCF
Et l’anarchiste révolutionnaire Theofilos Mavropoulos

PS. Il n’y a pas longtemps en prison, le camarade chilien Cristóbal Bravo Franke a été attaqué par un gardien de prison lâche. Les gardes voulaient se venger parce qu’il n’avait pas obéi à leurs ordres et s’est moqué face à eux avec mépris. Ces lâches qui verrouillent nos camarades dans les cellules de prison doivent être sûrs qu’ils auront la réponse qu’ils méritent. Pour chaque insulte, chaque punition contre les anarchistes de la praxis qui sont prisonniers de l’État, quelconque screw et sa propriété devient une cible, il est condamné à rencontrer notre rage.

traduit de l’anglais par sabotagemedia

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* Le procès de Marcelo, Freddy and Juan aura lieu le 19 décembre.

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