Category Archives: Affiches

Athènes : Concert en solidarité avec les squats sur la place Victoria, 26/1

Dans l’offensive que l’apathie sociale leur permet de livrer, ils coincent le chat dans le coin.
Le chat doit concentrer ses forces et leur crever les yeux…

Le monde de la résistance et de la lutte, des dizaines de squats et de lieux autogérés, des infrastructures d’entraide et de solidarité auto-organisées, et les milliers de personnes dans la vie desquelles Villa Amalias fait partie, sont une image du futur.

Ils chassent des chimères ils recevront des cauchemars.

Tout continue.

Concert de solidarité, le 26 janvier, à 18h00, place Victoria
avec Waxing Gibbous, Chimeria Narki, Propaganda

[ANNULATION DU CONCERT À CAUSE DE  CONDITIONS MÉTÉOROLOGIQUES]

Galice, Espagne : 13eme marche vers la prison de Teixeiro

XIII-Marcha-Teixeiro

Le 12 janvier, tout le monde à Teixeiro
13ème marche vers la prison !
Point de départ de la station-service fermée de la prison de Teixeiro (n-364 km. 663) à 12h30

Pour ceux qui croient que cette année il n’y aura pas la déjà traditionnelle marche vers la prison de Teixeiro, voilà l’affiche, donc vous pouvez confirmer que les bonnes habitudes ne se perdent jamais. Peut-être qu’elle se tiendra un peu plus tard que les années précédentes, mais les prisonniers ne manqueront pas leur portion habituelle de solidarité de Noël.

Les autorités (im)pertinentes ont été dûment informées afin d’éviter les non moins traditionnelles amendes, la marche se tiendra le samedi 12 janvier à 12h30 depuis la station-service située juste après la zone industrielle de Teixeiro pour parcourir la distance jusqu’au pénitencier et amener plus près nos cris solidaires les plus ressentis.

Surveillez de près de possibles appels à des mobilisations anti-carcérales dans toute ville de la Galice qui seront publiées sur le blog Abordaxe! dès qu’ils recevront toute information à ce sujet.

Les puissants jouissent de l’impunité alors que les pauvres deviennent des remplisseurs de prison.
Plus jamais d’injustice. Combattons pour la liberté.

À BAS LES MURS DES PRISONS

En espagnol

Athènes : Affiches pour les prochains événements en solidarité avec Villa Amalias

POSTER_Villa Amalias

ILS NE NOUS PRIVERONS PAS DE CE QUI NOUS APPARTIENT

Jeudi 27 décembre
Événement
Place Victoria, 17h00
– Pièce de théâtre
Mistero Buffo de Dario Fo
par le groupe “Tsiritsantzoules”
– Projection
par et sur le squat Villa Amalias

Samedi 29 décembre
– Manifestation en solidarité avec Villa Amalias
Propylea, 12h00
– Concert
Monastiraki, 16h00
Waxing Gibbous
Propaganda
Chimeria Narki

VILLA AMALIAS
SQUAT POUR TOUJOURS

Source

Athènes : Concert de soutien pour Indymedia Athènes – samedi 1er décembre

11 années d’Indymedia Athènes

11 années de contre-information auto-organisée anti-commerciale

Nous renversons les structures de communication de cette société pour ouvrir le chemin à la création d’une nouvelle.

Le samedi 1er décembre, à 20h30, un concert DIY sera tenu à l’École Polytechnique (entrée dans la rue Stournari, Athènes) pour le soutien économique de l’infrastructure de IMC. Les groupes qui joueront sont Lost Bodies, Antidrasi, Hat Trick, Grain, Speira, Propaganda et Hit&Rap.

Votre soutien factuel permettra à nos compagnons d’Athènes IMC de garder le projet en vie et en forme !

Source 

Espagne : Affiche de grève avec une perspective de genre

Appeler au boulot pour dire que tu es malade le matin de la grève.
Exproprier les biens du lieu de travail pour ensuite les redistribuer.
Mal travailler, plus lentement, avoir beaucoup “d’étourderies”.
Faire du boycott et saboter des petits trucs.
Faire la grève de la consommation.

Donner du courage aux grévistes ( celles qui comptent et celles qui comptent pas), leur donner de l’eau, leur offrir un abri si la situation devient difficile.

Je n’ai pas de contrat / je suis en stage / je suis travailleuse du sexe / j’ai migré et maintenant je travaille sans contrat / je suis travailleuse domestique / j’ai besoin d’argent / mon chef va me virer / je suis femme au foyer / je suis à mon compte et je ne peux pas perdre mes clients / j’ai un visa de travail / je m’occupe de personnes âgées / …

Quel que soit le motif, pour beaucoup d’entre nous la grève « traditionnelle » n’est pas suffisante. Nous ne sommes pas importantes pour les syndicats majoritaires, celles qui ne sont pas prises en compte et ne veulent pas rentrer dans le jeu avec les patrons et les gouvernements. Sans papiers, sans contrats, sans chefs, sans bureau, sans sécurité sociale, sans avoir un travail reconnu comme travail, sans maison, sans être payé pour tout ce que nous bossons, comment on ferait la grève dans le sens traditionnel du terme ?

Chaque jour devrait être un jour de grève. Mais pas une grève de devanture, de débat télévisés et quatre mots de fin de soirée. Chaque jour devrait être la grève du genre, la grève de la consommation, la grève de l’obéissance, la grève de la soumission, la grève de la reproduction, la grève des loyers, des hypothèques et des frais de logements, la grève des mères, la grève des corps, de la main d’œuvre pas cher, la grève de la non-violence face à la violence policière, la grève de se serrer la ceinture, que des jours meilleurs arriveront. La grève comme synonyme d’un raz le bol, la grève comme synonyme d’attaque. Ce n’est pas seulement la possibilité de bloquer le capital sur les lieux de travaux légitimés pas l’État, mais aussi dans la reproduction hétéro-patriarcale, capitaliste et raciste de la vie sociale.

Nous n’attendons pas assises à ce qu’on nous dise quand, comment et qui peut lutter ; nous redéfinissons le concept de grève.

La rage n’attend pas les appels à la grève, la rage n’a pas d’horaires déterminés.

Rage indéfinie. Grève indéfinie.

Athènes: Manifestation en solidarité avec les occupations et les lieux auto-organisés, le 1/12

BAS LES PATTES DES OCCUPATIONS
MANIFESTATION – 1/12 – 12h00 – PLACE VICTORIA
SOLIDARITÉ AVEC LES OCCUPATIONS ET LES LIEUX AUTO-ORGANISÉS

Face à une légitimité qui nous saccage la vie, nous demeurons des foyers d’illégalité.

Les squats et les lieux auto-organisés sont des parties de l’espace-temps libéré. Ce sont des fragments d’utopie au sein du désert social qu’impose la domination. Ce sont des digues sociales contre le fascisme. En leur sein, la graine de la subversion est couvée. Dans ces lieux nous expérimentons avec les structures que nous imaginons. Nous tentons de cultiver l’expression auto-organisée et anti-commerciale à travers des événements et représentations théâtrales. Nous créons des foyers de contre-information à travers des fréquences radiophoniques et projets Internet. Nous développons une pratique d’autoéducation collective, avec des leçons ouvertes à tous. Nous développons la solidarité sociale, avec des centres de soins et des cuisines collectives. Ainsi créons-nous petit à petit, dans chaque ville et quartier, des relations et des idées qui renverseront le régime de servage qui nous a été imposé.

NOUS CRÉONS; ILS DÉTRUISENT

Dans leur parcours les occupations et projets auto-organisés sont un obstacle.

La répression contre le squat Delta, mais aussi contre tous les projets auto-organisés à travers le pays (Draka, Apertus, Aphroditis 8.) – soit elle émane directement de la politique étatique, soit par l’intermédiaire de toute sorte d’organisations para-étatiques – vient s’ajouter à une longue liste d’attaques contre la société, le point culminant étant les mesures contre les travailleurs et la société qui sont imposées les dernières années. L’attaque exemplaire et continue de la part de l’État et du Capital sur l’ensemble des gens résistant a pour seul but l’intimidation et l’arrêt de toute voix et pratique subversive. Avec leurs armes, la désorientation et la terreur, ils tentent de nous rendre leurs sujets sans volonté afin qu’ils ouvrent la voie à une société totalitaire.

Coordination des occupations, lieux auto-organisés et stekis* d’Athènes, compagnon-ne-s

*steki c’est un lieu auto-organisé

 Source

Madrid : Rassemblement antifasciste contre Aube Dorée

Le 18 novembre, à 11h00 du matin, Nick VH, responsable des Relations Extérieures pour le parti grec nazi Aube Dorée, va donner une conférence à l’Hôtel Madrid Centro. Aube Dorée est un parti nazi dont l’action est complétement autorisé par la police et l’État, vu qu’il forme une partie du système politique grec et qu’il a gagné assez de sièges aux élections pour être représenté dans le parlement, avec tout ce que cela implique (impunité totale et légitimité pour agir de toutes les manières, tout comme un soutien politique et financier pour développer leur campagnes, discours et actions).

L’un de ses membres à l’intention de venir à Madrid pour donner une lecture de son parti et depuis le mouvement antifascite de Madrid nous avons lancé une alerte antifasciste et appelé les gens à aller leur faire face et les choper. Nous ne leur permettrons pas de mener cette action à Madrid, ou du moins pas normalement. Faisons en sorte qu’il soit clair qu’ils ne sont pas les bienvenus ici.

Le 18 novembre, à 11h00 devant l’Hôtel Madrid Centro (16, rue Mauricio Legendre).

ORGANISE-TOI, VIENT ET DIFFUSE !
MADRID ANTIFASCISTE MAINTENANT ET TOUJOURS !

Sources : 1 et 2

Affiche de l’Assemblée des quartiers du sud d’Athènes en solidarité avec les combattants emprisonnés pour S. Tzifkas, B. Tsilianidis, D. Dimtsiadis, D. Fessas dont le procès a débuté le 5 novembre 2012

LES HOSTILITÉS FONT RAGE, DE QUEL CÔTÉ ÊTES-VOUS ?

Nous vivons dans la période où l’autorité choisit l’attaque la plus vicieuse sur tous les terrains du réseau social. Nous expérimentons pour de bon dans nos vies quotidiennes les conséquences de la junte moderne qui nous veut subjugué à une chasse inefficace pour une survie qui n’a pas de sens.  Il nous est aussi imposé dans ces conditions la soutenance de l’élite-vampire internationale (FMI-BCE-UE), afin que nous allions encore plus loin dans les pages les plus sombres de l’histoire, afin que nous devenions encore plus subjugué aux appétits des indexes économiques et statistiques.

Au même moment et pour que les patrons puissent continuer à jouer leur “jeu” loin de la rage populaire, ils jettent sur la table la “carte” du fascisme en une tentative de confondre les exploités sur les raisons de cette pauvreté générale, le moment où le régime se protège avec tous les types de flics qui, avec les pratiques de la violence de masse dans les manifestations, les arrestations préventives aux protestations, l’exposition des arrêtés avec des photos, les raids spectaculaire dans les squats, même avec la torture, tentent de faire plier la résistance de ceux qui se battent. Ensemble avec la répression étatique va celle qui est mentale, quand les Médias entreprennent encore une fois le renversement de la réalité et la distorsion de tous types de résistance d'”en bas”.

Derrière tout cela, la cible n’est-elle pas toujours dans la tête ? Malgré tout, contre le totalitarisme moderne il y en a qui ne baissent pas la tête. Ils sont les fruits de monde pourri qui résistent factuellement et montrant par-là les luttes non-fermés et polymorphe pour son renversement. Ces luttes viennent comme une continuité de la guerre déclarée contre l’autorité, pour un monde sans exploiteurs ni exploités, pour un monde de solidarité et dignité.

LIBERTÉ POUR LES PRISONNIERS POLITIQUES ANARCHISTES S.TZIFKAS – D.FESSAS – D.DIMTSIADIS – B.TSILIANIDIS

Qui passent en procès pour l’accusation d’organisation terroriste inconnue

Assemblée des quartiers du sud d’Athènes en solidarité avec les combattants emprisonnés

Sources : 1 et 2

Gènes, Italie : Affiche pour la manifestation en solidarité avec Alfredo et Nicola

CONFLIT ET RÉPRESSION

Le 7 mai 2012 est attaqué à Gènes un des patrons du nucléaire, Roberto Adinolfi, directeur administratif d’Ansaldo Nucleare, une des entreprises du groupe Finmeccanica, qui, en plus de faire des recherches dans le nucléaire, vend des technologies aux dictatures les plus impitoyables, conçoit et produit des équipements pour le contrôle social et la répression, mais aussi des armes de destruction massive. L’attaque armée a été revendiquée par un noyaux de la FAI (Fédération Anarchiste Informelle). Suite aux enquêtes menées par les unités anti-terroristes (DIGOS et ROS), des perquisitions sont effectuées et deux anarchistes de Turin, Alfredo et Nicola, sont accusés d’être les auteurs de cette action. Le procureur Silvio Franz du parquet de Gênes (celui qui a classé sans suite l’enquête sur la mort de Carlo Giuliani en disant que “le pistolet* était le seul moyen idoine pour arrêter l’agression”) a notifié deux ordonnances successives d’incarcération préventive et a inscrit une troisième personne dans le registre de l’enquête [mise en examen]. Alfredo et Nicola sont encore détenus dans l’infâme prison de Sanremo, en régime d’isolement total, où ils subissent une mesure arbitraire de saisie de leur correspondance.

Il est évident que l’État Démocratique, dans sa chasse aux sorcières, mène une stratégie répressive avec pour but d’annihiler à tous les niveaux ceux qui sont considérés comme des épines dans le pied des détenteurs du pouvoir, et d’intimider tous ceux qui osent se rebeller en menaçant la paix sociale, garantie essentielle de la mise en œuvre des plans des patrons et politiciens. La répression agit au quotidien contre nous de différentes manières, des plus infimes aux plus évidentes. La répression s’exprime à travers l’employeur qui décide de l’emploi du temps de nos vies ; à travers l’école qui nous apprend la bonne voie pour rester dans le rang ; à travers la psychiatrie qui taxe nos particularités de maladies pour les écraser avec les médicaments des multinationales ; à travers les caméras de vidéo-surveillance qui contrôlent, surveillent et analysent nos mouvements  et habitudes ; à travers la guerre que les militaires ont déclaré dans nos rues contre pauvres ; à travers la télévision et la publicité qui nous vendent un monde fictif et fabriquent des rêves de fiction impossibles qui nous éloignent de la possibilité d’une vie digne d’être vécue, nous aliénant de nos besoins réels, de nos douleurs et de nos joies.

Et c’est quand tout cela n’est pas suffisant contre ceux qui ne baissent pas la tête, qui ne veulent pas vivre à l’intérieur des limites imposées, que la répression prend sa forme la plus cruelle : la prison. L’emprisonnement est souvent suivi par l’isolement, qui vise à annihiler les personnes et leur dignité et à les éloigner des rapports et des luttes, sociales et individuelles.

Ce qu’ils ne peuvent nous enlever, qui reste et, si nous le voulons, restera toujours, exclusivement entre nos mains, c’est la pratique de la solidarité. Le seul véritable obstacle insurmontable pour les projets de domination/profit des patrons et la stratégie répressive des appareils d’État.

Répétons, sans risque de nous en lasser, que les seuls véritables terroristes sont les États, les multinationales, les armées, ceux qui planifient des grands travaux dévastateurs, des centrales nucléaires et des instruments de destruction. Donnons notre solidarité à Alfredo et Nicola devant la prison de Sanremo où ils sont incarcérés.

MANIFESTATION SAMEDI 17 NOVEMBRE
15H00 À LA PRISON DE SANREMO
EN SOLIDARITÉ AVEC NICOLA ET ALFREDO
 
SOLIDARITÉ AVEC TOUS LES REBELLES – POUR LA LIBERTÉ DE TOUS/TES

* Celui du flic qui a tiré sur Carlo et l’a tué (Ndt).

Source : 1, 2 et 3

Traduit en collaboration avec Cette Semaine


Dans la matinée du 12 novembre Alfredo Cospito a été transféré de Sanremo à la prison d’Alessandria, alors que Nicola Gai était toujours détenu en isolement à Sanremo. Le 14 novembre, Nicola Gai a été transféré dans une autre prison (inconnue jusque là).

Alfredo Cospito
Carcere San Michele, strada Casale 50/A, IT-15122 Alessandria

Athènes : Manifestation à moto antifasciste et anti-étatique en solidarité avec ceux poursuivis pour la patrouille antifasciste

La guerre de classe fait rage… Du côté de la souveraineté, consolidant le totalitarisme contemporain.

Dans les mesures sur le travail et avec l’attaque prédatrice du capital causant l’appauvrissement rapide de la société et l’établissement de zones économiques spéciales.

Les troupes d’assaut “anti-systémiques, ces cannes fascistes de la démocratie appliquent leur “résistance” supposée sur les corps des déshérités et les parias du rêve capitaliste.

Cette guerre s’exhibe quotidiennement dans les centres de rétention, dans les opérations “Xenios Zeus”, dans les pogroms et les tortures dans les commissariats.

PAS UN PAS EN ARRIÈRE
TOUT CONTINUE

15 NOVEMBRE 2012, 18H00
POLYTECHNIQUE, À LA GRILLE DANS STOURNARI

Patrouille antifasciste

Barcelone : Affiches pour la grève générale

14 NOVEMBRE GRÈVE GÉNÉRALE

Subvertir l’ordre établi, interrompre le fonctionnement du système, questionner sa logique et la fausse normalité, arrêter et saboter la machine productive qui fait avancer l’engrenage, bloquer la mobilité de marchandises et de personnes, signaler et attaquer les responsables de notre misère, se réapproprier  l’espace publique, lutter sur nos espaces, villages, quartiers, lieux de travail, … sortir dans la rue et partager la rage et les rêves. Que chacune avec ses propres outils se joigne aux siens et sorte dans la rue pour faire entendre sa voix. Que la révolte s’étende !

RÉSISTANCE ! AUTOGESTION !

GRÈVE de la soumission, de la résignation, de l’obéissance …

Vous nous condamnez à un travail chaque fois plus d’esclave, vous précarisez globalement et définitivement nos vies, vous nous retirez les aides, la possibilité de tomber malade, l’indemnisation infime que nous avions lorsqu’on se faisait virer. Et vous nous insultez directement lorsque vous dites que vous allez défendre le droit au travail le jour de la grève alors que vous êtes les seuls responsables du chômage. Le travail n’est pas un droit, c’est une contrainte héritée de l’esclavagisme. Les luttes sociales se sont toujours axé sur l’augmentation de sa rémunération, sa transformation ou sa simple disparition … Vos réformes du travail de 2010 et 2012 additionnées aux réductions sociales et les réformes sur les retraites veulent nous rendre encore plus esclaves. La crise économique n’est de toute évidence qu’un pantin, elle n’existe pas. Vous avez décidé de nous exploiter encore un peu plus … Nous voulons être plus libres, on s’en fout des votes, des enquêtes, des flics et des bourges qui vous soutiennent. Nous lutterons contre ces lois et avec nos objectifs clairs ; la destruction de l’État et du capital et de toute forme d’autorité.

Et s’il vous plait, n’essayez pas de vous foutre de nous. Un coup c’est les piquets coercitifs, un autre le droit au travail, un autre la contrainte … c’est se moquer ouvertement de ceux qui font la grève, de ceux qui se sont démenés, ou ont laissé la liberté ou la vie dans des grèves précédentes. Si tu ne t’arrêtes pas nous t’arrêtons. Les demi-mesures sont des trahisons et la paix sociale une relique du passé.

14-N grève sauvage ! Sans syndicats ni dirigeants.

Chili : Parce qu’en votant tu deviens esclave…

PARCE QU’EN VOTANT TU DEVIENS ESCLAVE …

Si tu votes tu acceptes volontairement de participer à ce système de domination en élisant tous les 4 ans celui qui sera le dominateur de service de la commune, du pays et de ta vie. Que ce soit à droite, à gauche ou indépendant, en votant tu ne fais que maintenir et reproduire les conditions de misère et d’exploitation dans lesquelles tu vis.

Si tu votes tu crois illusoirement que la réalité se changera d’un simple trait sur le papier et qu’un candidat stupide résoudra tes problèmes.

NE SOIS PLUS UN PION DE PLUS DANS LEUR JEU D’ÉCHEC. DÉTRUIS TES CHAÎNES, LIBÈRE-TOI !

Toi seul es capable de changer ta réalité de façon autonome, en rompant avec tout système électoral, démocratique et toute autorité.
Parce que la fête des élections c’est bon pour les esclaves. Il n’y a rien à célébrer.

RÉCUPÉRONS NOS VIES POUR LA LIBÉRATION TOTALE.
PEU IMPORTE QUI GOUVERNE, NOUS SERONS TOUJOURS INGOUVERNABLES !

 Source: Material Anarquista

Halandri, Athènes: Soirée de soutien aux 15 arrêtés de la manif à moto antifasciste

 Organisons l’attaque contre l’Etat et les fascistes

Le soir du dimanche 30 septembre une manif à moto a lieu dans le centre d’Athènes. Elle passe par les rues de Kypseli et se dirige vers la place Ameriki. En passant par la rue Phylis elle est attaquée par les forces de répression (unité de police à moto DELTA). S’en suivent 15 arrestations de compagnon-ne-s qui se trouvent inculpé-e-s des infractions criminelles et doivent payer des cautions très élevées.

ATTAQUE – AUTOORGANISATION – SOLIDARITÉ

Vendredi 12 octobre 2012, à 23h00, passage souterain sous l’avenue Kifissias à la hauteur de l’hôpital Ygeia.

Bus : depuis le centre A7, 550, depuis Syntagma X14 (nocturne)

Squat Epavli Kouvelou
kouvelou_squat@riseup.net

Source

Barcelone : Écrasons le fascisme, le racisme et le cannibalisme social

Ces jours-ci, des compagnon(ne)s de plusieurs quartiers de Barcelone mènent une campagne de diffusion pour faire face aux prémices de fascisme, racisme et cannibalisme social qui émergent dans le contexte actuel. Le point de départ de cette campagne a eu lieu samedi dernier, lorsqu’un groupe de compagnon(ne)s ont collé des affiches avec le contenu qui suit sur les murs du local nazi ” Casa Tramuntana” et dans les rues autour :

ÉCRASONS LE FASCISME, LE RACISME ET LE CANNIBALISME SOCIAL

Les responsables de nos problèmes ne sont pas ceux qui se voient forcés de migrer.
Ce sont ceux qui sont à la tête d’un système politique et économique qui génère exploitation, guerres et pauvreté tout autour du monde.

Nous ne marcherons pas avec ceux qui nous exploitent et nous gouvernent sous le drapeau d’aucun pays, race ou « identité culturelle ». Notre place est au côté des exploités de tous les pays et faisant face à ceux qui ont construit leur richesse à partir de notre misère.

Qu’on ne nous embrouille pas, la lutte n’est pas entre nous, la lutte est contre l’État et le Capital.

POUR UN MONDE SANS CLASSES, FRONTIÈRES, GUERRES ET MISÈRE.

Bruxelles : Soirée de soutien aux antifascistes grecs

Soirée de soutien aux antifascistes grecs arrêtés par la police et torturés suite à un affrontement avec des néo-nazis d’Aube Dorée.

Le 20 octobre 2012, au Bokal Royal, 123 rue Royale, Bruxelles, avec :

Au goulag, punk hardcore, Bruxelles

Tbs-sb , bass & drum, Bruxelles

100 Crew, rap militant, Bastogne

Mangouste, rap militant, Liège

+ Open Mic

 Source

Athènes : La troisième patrouille antifasciste à moto affronte des néo-nazis; la police attaque la manif en représailles

Banderole anarchiste à Kamara, Thessalonique : “Solidarité avec les arrêtés de la manifestation antifasciste à moto – Athènes – Tribunal d’Evelpidon 4/10”

La nuit du 15 septembre a vu la première patrouille à moto dans le centre d’Athènes avec des distribution de flyers et des slogans contre les attaques néo-nazies. Le 22 septembre, une autre manifestation antifasciste à moto fut réalisée avec succès.

Dans la soirée du dimanche 30 septembre, une troisième intervention-patrouille antifasciste à moto passait dans le centre d’Athènes, mais a vite été entravée par des néo-nazis. En conséquence, les compagnons en ont environ démolis trois près de la rue Phylis, dans le secteur d’Aghios Panteleimonas, dans le centre  d’Athènes. À environ 21h00, alors qu’un des fascistes gisait toujours à terre, blessé, les dernières motos de la manifestation ont été attaqué en représailles par plusieurs brutes de l’unité de police à moto DELTA.

Quasiment tout les antifascistes à moto ont été prise en chasse et attaqué, d’abord dans le voisinage de la place Amerikis (non loin du centre de la communauté tanzanienne qui a été mis à sac par des fascistes il y a de ça quelques jours), ensuite dans l’avenue Alexandras, mais aussi alors qu’ils se dirigeaient vers Exarhia. Là aussi plusieurs jeunes ont été persécuté et arrêté par les flics.Plusieurs motos ont été laissé en plan et éventuellement confisquées par la police. Peu de temps après, les camarades se sont rassemblés dans les squats du centre d’Athènes afin de défendre les lieux.

Parmi un nombre non confirmé de compagnons blessés par les flics, un antifasciste a sérieusement été blessé. Pas loin de 23 personnes qui ont participé à l’action ont initialement été reporté manquant… Parmi eux, 15 ont été arrêté dans différents lieux et enfermé au quartier général de la police [GADA] dans l’avenue Alexandras, sans aucun accès aux avocats.

Un rassemblement a été appelé pour le lundi 1er octobre à 13h00 au tribunal d’Evelpidon en solidarité avec les arrêtés. La procédure a été reportée à jeudi, alors qu’assistaient au rassemblement plus de 300 compagnons. Dans la soirée, plusieurs unités de police ont sauvagement attaqué les personnes venus en solidarité au sein du tribunal et les ont harcelé dans les rues aux alentours, avec pour résultat plusieurs détentions (4 d’entre-elles se sont transformées par après en arrestations).

Les 15 antifascistes qui ont été arrêté le 30/9 sont toujours détenus à GADA – ils doivent passer devant le tribunal le jeudi 4/10 au matin. Les 4 compagnons arrêtés le 1/10 vont être détenus à GADA jusque vendredi, le 5/10, date à laquelle ils vont probablement passer en procès au tribunal d’Evelpidon.

Les antifascistes qui ont pris part à l’action n’ont pas encore publié leur propre version des  événements mais ont notifié qu’il y a un besoin de collecter plus de 10.000 euros pour les dépenses légales et cautions. De plus, tard dans la soirée du mercredi 3/10 , ils ont appelé à une assemblée ouverte à l’École Polytechnique pour discuter des dernières informations sur les 15 arrêtés de la patrouille-intervention antifasciste (30/9), des 4 arrêtés lors du rassemblement de solidarité au tribunal d’Evelpidon (1/10) et des actions à venir. L’assemblée a été suivie par plus de 300 sympathisants.

La même nuit, une vidéo de l’intervention du 30/9 a été publiée, avec des prises peu avant le coup répressif. De plus, tous les 19 otages à GADA ont envoyé un premier retour :

Mercredi 03 octobre 2012.
Quelques mots des cellules de détention du 7em étage du quartier général de police d’Athènes.

Bien que trois jours aient passés depuis notre arrestation lors de la manifestation antifasciste à moto et collage le dimanche 30 septembre, nous pensons qu’il est bon de clarifier quelques trucs même maintenant.

Après un appel ouvert le dimanche 30 septembre, une manifestation antifasciste à moto et collage, qui est partie d’Exarchia, s’est déroulée dans le centre d’Athènes. Cette manifestation venait en réponse aux pogroms fascistes et attaques contre les immigrés qui se trouvent dans plusieurs quartiers du centre d’Athènes par des gangs fascistes déguisés en “résidents” ou “comités de commerçants”, soutenus par les gangs étatiques officiels.

Là tout de suite, nous ne sommes pas intéressés d’analyser ou expliquer ici les relations connues et rabattues entre Aube Dorée [Chrissi Avgi] et la police grecque.

Juste après que la patrouille est été attaqué par des partisans d’Aube Dorée(-citoyens), il y a eu un assaut de la part des flics de l’unité de police à moto DELTA, qui ont suivi l’arrière de la manif mais sont aussi passés dans les rues parallèles.

Au final, 15 combattants antifascistes ont été attrapé, hommes et femmes. Ils ont été blessé à différents endroits de leurs corps, comme la tête, les bras et jambes, alors que les flics ont aussi utilisé des tasers (armes qui causent des chocs électriques).

Nous avons été emmenés au 6em étage du quartier général de la police, en face du département de la protection de la constitution étatique, où la nuit fut accompagnée de tabassage, menaces, tirage et brûlage de cheveux de la part des équipes de DELTA qui ont pris nos photos pour leurs albums privés alors qu’ils continuaient à nous garder.

Des menaces telles “Maintenant nous savons qui vous êtes, nous allons vous enterrer comme vos grands-parents pendant la guerre civile” sont révélatrices du terrorisme que ces crétins prétoriens des équipes DELTA ont tenté de nous infliger. Au même moment, nous n’étions pas autoriser à communiquer avec des avocats ou des médecins pendant 19 heures consécutives. Le jour suivant, après qu’ils aient fait un transfert – un spectacle afin de prendre nos profils suspects, ils nous ont en fin de compte emmené au tribunal de l’ancienne école militaire d’Evelpidon.

Alors que nous étions toujours au tribunal, les forces de police anti-émeute ont attaqué les personnes solidaires rassemblées, battants férocement nombre d’entre eux. Un total de 25 personnes ont été détenu, et au final 4 arrêtés ont été inculpé. Depuis le moment de leur arrestation, ils ont été transféré au 6em étage du quartier général de la police, où les flics mirent en place la même tactique d’intimidation, incluant des fouilles corporelles humiliantes. Après une décision vengeresse sans précédent, la détention provisoire des 4 arrêtés a été prolongé en trois jours de plus (jusqu’à vendredi), et la détention provisoire des 15 premiers arrêtés fut étendue à jeudi.

Ils nous ont amené aux cellules de détention du 7em étage du quartier général de la police, dans un quartier surpeuplé (prévu pour 30 personnes alors qu’en ce moment 80 personnes “vivent” là dans des conditions incroyablement sordides), dans une tentative de “briser nos nerfs”. Malgré tout, nous avons rencontré un sentiment de solidarité sincère exceptionnel des gens qui ont été “oublié” depuis plus de trois mois dans cet endroit.

Au sein de la “crise économique” de plus en plus de gens se dirigent vers la pauvreté et la destitution, le cannibalisme social est récompensé comme une vertu, le fascisme montre sa tête dans nos localités et quartiers, l’offensive de l’État s’intensifie à tous les niveaux; dans cette période, des options qui promeuvent l’auto-organisation, la solidarité, la camaraderie et l’action directe sont celles qui, non seulement, peuvent tenir dans ce chemin de la peur qu’ils essaient d’imposer dans nos vies, mais sont aussi la perspective d’une organisation sociale différente.

Vous avez besoin de profondément saisir ce qu’est vraiment le fascisme
Le fascisme ne mourra pas simplement de lui-même; vous avez besoin de l’écraser.

Les arrêtés du 30/9 et du 1/10
(Quelques uns parmi nous, fiers descendants de brigands/symmorites anarcho-communistes.)

Affiche en solidarité avec les compagnons italiens frappés par la répression

C’est l’étincelle qui est dans l’air, mais l’étincelle qui cherche la poudrière…

LIBERTÉ POUR LES COMPAGNONS-NNES FRAPPÉ-E-S PAR LA RÉPRESSION

Le terroriste c’est l’État. Liberté pour les rebelles du G8 condamnés.
Le feu de Gènes brûle encore…

Solidarité avec les compagnons-nnes frappé-e-s par la main répressive lors des opérations Ardire (13 juin), Mangiafuoco (8 août), Ixodidae (27 août) et Thor (1 septembre)

Source

Italie, affiche contre la répression : Au bord du précipice

Au bord du précipice

Le chômage augmente, les prix augmentent, les salaires diminuent, de nouveaux et anciens impôts pillent les poches de ceux qui ont moins alors que les privilèges des puissants deviennent encore plus odieux, les espaces de liberté diminuent et de lâches abus sont perpétrés au nom de la sécurité. Les prisons et les rues se remplissent d’une armée de nouveaux pauvres, tandis que l’argent et le pouvoir se concentrent entre politiciens, banquiers et multinationales toujours plus arrogantes qui ravagent des populations entières avec des guerres et des désastres écologiques, juste pour faire tourner l’économie et s’enrichir.

“Bandits et rebelles, nous vous casserons les reins”

La peur d’une contestation indomptable et sauvage comme celle en Grèce effraye les classes dirigeantes qui commencent à déclencher des attaques préventives, dans l’espoir d’endiguer le fleuve en pleine crise sociale. La si chère démocratie permet la dissidence en son sein, le même cadre avec lequel elle enferme ceux qui passent les frontières, opprime les classes les plus défavorisées, tue ceux qui ne peuvent se défendre, empoisonne ceux qui travaillent dans ses usines, affame et exploite ceux qui travaillent pour elle. Le terrain de la démocratie et du capital est un enclos où les gens ne sont que du bétail, bœufs dociles emmenés à l’abattoir. Gare à celui qui se plaint pendant qu’il est marqué au fer rouge, gare à celui qui rue pendant qu’on lui arrache ses dents, gare à celui qui tente de franchir la clôture. Sous le fascisme, l’État a inventé un crime spécial (l’article 270bis, toujours en application) : il suffit de seulement penser à se coaliser contre lui pour récolter prison et vexations. D’un bout à l’autre de l’Italie, 4 opérations différentes se sont succédées en 3 mois, conduisant à l’incarcération d’une dizaine d’anarchistes, enquêtant sur une centaine d’autres et perquisitionnant une centaine de domiciles. Sans oublier les lourdes peines prononcées en véritables représailles contre les manifestants du G8 de 2001 ou les incarcérations préventives d’opposants au TAV.

“Nous luttons, vous votez”

Nos compagnons, amis et proches, ne sont pas surpris par le traitement qui leur est infligé, ils savent qu’ils sont punis uniquement pour avoir eu le courage de sortir de l’enclos. Pendant que des troupeau apeurés beuglent leur désaccord entre une pétition, une élection et un sit-in, quelques individus à eux seuls informent, démasquent et attaquent les structures criminelles du système. Les banques criminelles brûlent, les agences de recouvrement des impôts affameuses sautent en l’air, les industriels éco-assassins s’effrayent. Pendant que des troupeaux demandent une loi, un travail, une laisse à leur boucher, des communautés alternatives basées sur l’autogestion, l’entraide, le refus de la délégation naissent dans les vallées rebelles de la domination des puissants. Des poignées d’individus, qui très souvent ne se connaissent même pas, agissent selon leur habileté et possibilité, qui en écrivant un message sur un mur, sur internet ou sur un tract, qui en ralentissant et sabotant les structures qui font de la vie un enfer.

“Nous ne demandons pas de futur, nous nous emparons du présent”

Nous ne sommes pas naïfs et nous savons qu’un fossé énorme, fait de souffrance et de ruines fumantes, sépare ce système d’exploitation et de haine d’une société sans esclaves ni maîtres, sans dieux ni religions, sans États ni nations. Mais en prendre acte ne suffit pourtant pas. Pour ne pas en être des complices plus ou moins conscients, on doit agir pour reprendre le contrôle sur nos vies, et que ceux qui se sentent en sécurité maintenant ne se leurrent pas : le sol est glissant au bord du précipice, et il n’y a nulle part où trouver refuge. Prendre position maintenant, individuellement, sans attendre délégations, partis, syndicats, médias, avant-gardes et masse, toutes ces vieilleries désormais ridicules du siècle passé, peut faire la différence, parce que c’est seulement dans la lutte pour la liberté que la vie devient digne. Le présent est un laboratoire où expérimenter ce qui adviendra ; sans présent, tout appel au futur est un cri vide qui se perd, muet, dans l’espace sourd.

Liberté pour notre frère Peppe Sghigno. Liberté pour tous les compagnons en prison !
Solidarité avec Gimmy et tous les compagnons en cavale poursuivis par les États !!
Solidarité avec tout ceux qui dans le monde combattent par l’action directe l’oppression de l’État et du capital !!
Arrêtons l’acharnement thérapeutique auquel est soumis cette société mourante, mettons un terme à ses souffrances, foutons par terre le système !!

Sources : 1, 2 / L’affiche en pdf

Affiche traduite en collaboration avec Cette Semaine

Athènes : Concert de solidarité pour Vaggelis K.

CONCERT DE SOUTIEN FINANCIER DU MANIFESTANT VAGGELIS  LEQUEL A ETE LIBERE SOUS CONTROLE JUDICIAIRE ASSORTI D’UNE CAUTION D’UN MONTANT IMPORTANT ALORS QU’IL VENAIT DE PASSER 6 MOIS EN DETENTION PROVISOIRE TOUT COMME LES 3 AUTRES MANIFESTANTS QUI AVAIT ETE ARRETES A LA MANIFESTATION CONTRE LE DEUXIEME MEMORANDUM LE 12 FEVRIER 2012

Lors des incidents qui ont eu lieu  le 12 février au rassemblement sur la place Syntagma pour que les nouvelles mesures ne soient votées (2eme mémorandum), le compagnon et ami Vaggelis K. est arrêté et tabassé avec d’autres manifestants.

L’État et les mécanismes d’oppression (autorités judiciaires – police) mettent Vaggelis en détention provisoire pendant 6 mois, sans aucune preuve à charge, afin de terroriser quiconque résiste et se bat contre la pauvreté, que le gouvernementi, l’UE et l’IMF essaient d’imposer depuis Mai 2010 et ce jusqu’à aujourd’hui.

Après sa remise en liberté, l’État continue de montrer ( son humeur* conviendrait mieux, mais peut être “montrer le ton” serait plus proche ) .
Il impose des conditions restrictives et une caution de 5.000 euros afin que sa captivité continue de cette manière.

La concert qui se déroulera le 22 septembre 2012 a pour but de récolter l’argent pour la caution fixée par l’État et les mécanismes d’oppression, et ce afin de mettre fin à la “prise en otage” du compagnon et ami.

LA SOLIDARITE EST NOTRE ARME

DES COMPAGNONS/NNES

Source

Athènes: Soirée de soutien financier pour la radio 98fm, le vendredi 21 septembre

Vous voulez l’enterrer…mais vous oubliez qu’elle est une graine.

La contre-information ne peut pas être bâillonnée.

Le 21 septembre, à Lycabettus

Soirée de soutien financier pour améliorer l’équipement de la station radio 98fm.

Toute contribution en équipement radio/sonore est la bienvenue.

(pièces d’ordinateurs, casques audio, amplificateurs, haut-parleurs, microphones et tout ce que vous avez dans votre débarras)

98fm Bandes de fréquences d’expression subversive

 Le texte de l’appel:

Les bandes de fréquences d’expression subversive (93.8 et 98.0) aspirent à atteindre –après de nombreuses années d’auto-amélioration- un plus haut niveau technique en matière de qualité sonore, d’enregistrement d’événements et d’émissions et bien sûr en ce qui concerne la gamme de fréquences.

La transmission sur deux fréquences et le maintien de deux studios nous rendent de plus en plus difficile  d’améliorer et de remplacer l’équipement. Nous vous invitons alors le vendredi 21 septembre à la fête de la station à Lycabettus afin d’échanger des idées sur les moyens de participer et soutenir la station mais aussi pour écouter de la musique.

Par-delà le soutien financier, vous pouvez apporter de l’équipement technique, soit des appareils audio et haut-parleurs aussi bien que des pièces d’ordinateurs, de l’équipement d’émission radio ou des outils et matériaux en tout genre.

 

ORGANISONS ENSEMBLE NOS MOYENS !

BANDES DE FREQUENCES D’EXPRESSION SUBVERSIVE

Gènes, G8 : Manifestation pour le procès à la Cour de Cassation le 13 juin

Je trouverai toujours des compagnons
Qui se joindront à moi
Sans prêter serment
A mon drapeau…

Durant le procès en cassation
contre 10 compagnons
accusés de dévastation et pillage

Vendredi 13 juin 2012

Manifestation devant le palais de justice
Place Cavour – Rome

Solidarité avec les rebelles de Gènes 2001

Source

Appel pour une mobilisation internationale en solidarité avec les émeutiers condamnés de Gènes 2001

Le 13 juillet sera tenu le dernier degré du procès contre 10 compagnons condamnés pour avoir participé dans les affrontements à Gènes en 2001 à l’occasion du sommet du G8.

Les compagnons avaient été condamné par le Tribunal de Gènes à de lourdes peines allant de 10 à 15 ans de prison et maintenant leur emprisonnement pourrait devenir effectif.

Dix personnes sont utilisés comme boucs émissaires : à travers eux l’État veut attaquer les centaines de milliers de personnes qui ont pris les rues ces jours et plus particulièrement ceux qui ont contribué à déchaîner la révolte contre l’arrogance des Puissants. Nous n’acceptons pas les représailles de l’État; condamner ces compagnons signifie attaquer tout le mouvement.

Dans le même temps les responsables des massacres aveugles, le raid sur l’école Diaz, les tortures dans les bâtiments de la police de Bolzaneto et le meurtre de Carlo Giuliani peuvent tranquillement dormir dans leur lits alors qu’ils ont été récompensé pour leurs actions de bouchers.

Nous pensons que c’est notre responsabilité précise de donner de la solidarité aux compagnons condamnés, de se battre contre cet acte d’oppression et de répression et de faire valoir l’importance des jours de Gènes.

Nous pensons aussi que dans cette période d’attaque violente par le système capitaliste contre les exploités il est important de s’opposer à la criminalisation de toutes ces luttes qui vont au-delà de l’espace restreint qui est donné… Cette criminalisation se manifeste aussi dans les lourdes peines amenés par l’accusation de “pillage et dévastation”.

Pour ces raisons il est important d’organiser une mobilisation en soutien aux compagnons condamnés. Ceci est notre appel pour la solidarité internationale, pour des actions et des initiatives menées durant la semaine avant le jour du procès.

De plus, nous invitons tout un chacun à la manifestation de solidarité qui sera tenue le jour de l’audition à la Cour de Cassation de Rome, pour qu’ainsi les inquisiteurs puisse entendre directement nos voix.

06-12 juillet – journées d’action
13 juiller – sit-in près de la Cour de Cassation à Rome

Des anarchistes

Pour plus d’infos et des mises à jour : hateg8@distruzione.org

Site internet de solidarité

Source

Projections chaque jeudi de juillet dans la cour de Villa Amalias…

Empêcher ma libre pensée, c’est ta vision.
Empêcher à tout prix ce désir, c’est ma réalité.

Projections de films en juillet…
Chaque jeudi
21h, entrée rue Cheyden

28/06 : Les filles de la pluie (Grèce – 2011)
Un documentaire de Al. Dimitriou sur la lutte des femmes contre la dictature de ’67 – ’74.

05/07 : Interrogatoire d’un citoyen au-dessus de tout soupçon (Italie – 1970)
Un flic tente vainement d’avouer un meurtre.

12/07 : Sa Majesté des Mouches (États-Unis – 1963)
Naufragé sur une île, un groupe d’enfants essaye de survivre avec des conséquences imprévisibles.

19/07 : District 9 (Afrique du Sud – 2009)
Il est facile que nous haïssions l’étranger, celui qui est différent, faible. Mais que se passe-t-il quand les conditions se renversent ?

Source

Stickers en solidarité avec l’anarchiste révolutionnaire Theofilos Mavropoulos emprisonné dans les geôles grecques

“Ceux d’entre vous qui voient aujourd’hui leur enfants jouer insouciants dans les aires de jeu et les cours d’école, ne soyez pas surpris si demain vous les voyez former des affinités révolutionnaires ou participer à des attaques armées contre l’État et le Capital…”

Solidarité avec l’anarchiste Theofilos Mavropoulos
Solidarité avec tous les membres de l’Organisation Révolutionnaire CCF
Liberté pour tous les prisonniers politiques

Rage et conscience contre l’État et ses mécanismes
Solidarité avec le compagnon Theofilos Mavropoulos
Liberté pour tous les prisonniers politiques

Nous vous disons ceci franchement : nous ne sommes pas et nous ne deviendrons jamais les gentils mômes que nos parents et nos professeurs nous ont exhorté d’être.

Contre toute forme de prison
Contre toute forme de Pouvoir
Contre la société en elle-même
Solidarité avec le compagnon Theofilos Mavropoulos
Anarchistes de Mytilini (Île de Lesvos)

Source